Discours par Maximilien Robespierre —
5 Fevrier 1791-11 Janvier 1792

(1758-1794)



Note: texte en français moderne établi par Charles Vellay




Principes de réorganisation des jurés et réfutation du système proposépar M, Duport au nom des Comités de judicature et de constitution, parMaximilien Robespierre, député du Pas-de-Calais à l'Assembléenationale (5 février 1791)

Discours sur la liberté de la presse, prononcé à la Société des Amisde la Constitution, le 11 mai 1791, par Maximilien Robespierre, députéà l'Assemblée nationale, et membre de cette Société (11 mai 1791)

Discours de Maximilien Robespierre à l'Assemblée nationale, sur laréélection des membres de l'Assemblée nationale (16 mai 1791)

Second discours prononcé à l'Assemblée nationale, le 18 mai 1791, parMaximilien Robespierre, député du département du Pas-de-Calais, sur larééligibilité des membres du Corps législatif (18 mai 1791)

Discours sur la peine de mort prononcé à la tribune de l'Assembléenationale le 30 mai 1791 (30 mai 1791)

Discours sur la fuite du Roi prononcé par Robespierre le 21 juin 1791aux Jacobins (21 juin 1791)

Discours sur l'inviolabilité royale prononcé par Robespierre àl'Assemblée constituante le 14 juillet 1791 (14 juillet 1791)

Discours par Maximilien Robespierre à l'Assemblée nationale sur lanécessité de révoquer les décrets qui attachent l'exercice des droitsdu citoyen à la contribution du marc d'argent, ou d'un nombre déterminéde journées d'ouvriers (11 août 1791)

Discours sur la guerre, prononcé à la Société des Amis de laConstitution, le 2 Janvier 1792, an quatrième de la Révolution (2janvier 1792)

Suite du discours de Maximilien Robespierre sur la guerre prononcé ala société des amis de la constitution le 11 janvier 1792, l'anquatrième de la révolution (11 janvier 1792)






Principes de réorganisation des jurés et réfutation du système proposépar M, Duport au nom des Comités de judicature et de constitution, parMaximilien Robespierre, député du Pas-de-Calais à l'Assemblée nationale(5 février 1791)



Messieurs,


Le mot de Jurés semble réveiller l'idée de l'une des institutionssociales les plus précieuses à l'humanité: mais la chose qu'il exprimeest loin d'être universellement connue, et clairement définie; ouplutôt, il est clair que, sous ce nom, on peut établir des chosesessentiellement différentes par leur nature et par leurs effets. Laplupart des Français n'y attachent guère aujourd'hui qu'une certaineidée vague du système anglais, qui ne leur est point parfaitementconnu. Au reste, il nous importe bien moins de savoir ce

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