Théodore AYNARD
en poste, en diligence, en voiturin, en traineau, en esperonade,
à cheval et en patache.
De 1787 à 1844.
LYON.
IMPRIMERIE MOUGIN-RUSAND 3, Rue Stella, 3
1888
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Avant-Propos. | — | Épigraphes |
Chapitre Ier. | — | Où l'on voit le roi Louis XI, la poste et les postillons |
Chapitre II. | — | Qui contient des extraits authentiques du journal de voyage en Italie et en Sicile d'Antoine-HenriJordan, fils et petit-fils d'échevin, en 1787 et 1788,et quelques autres choses. |
Chapitre III. | — | Contenant des épisodes du voyage en Bretagned'Alphée Aynard, en 1798 et du voyage à Parisde Th. Ay., en 1815 |
Chapitre IV. | — | Où l'on verra quatre personnes parcourant laSuisse dans une grande voiture, mais à petitesjournées, en 1834 |
Chapitre V. | — | Voyage en voiturin d'Allemagne en Italie, où l'onmet quarante jours pour aller de Francfort-sur-le-Meinà Florence sur l'Arno, et retour enAuvergne par Gênes, Marseille et les Cévennes,en 1839 |
Chapitre VI. | — | Souvenirs d'Angleterre et d'Écosse, en 1844 |
Chapitre VII. | — | Service des postes et des diligences en 1790,et 1850. Comparaison des moyens de transportmis à la disposition des voyageurs, sous les rapportsde la fréquence des départs, du nombre deplaces offertes au public, et de la durée des voyages,par les diligences et les chemins de fer en 1790,1810, 1850 et 1888 |
Tableau résumé du Chapitre VII. | ||
Épilogue |
Et quorum pars parva fui, sed magna parentes.
(Imité de Virgile.)
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Votre mémoire est une lampe que vous
avez promenée pieusemen